-
Par supersly le 19 Mars 2012 à 21:21
Tu as dit je t'apprécie
Merci
Nous n'étions pas ami...
Avant
Donc ne te fais pas de soucis
Pour ce coup ci
Ne me fais pas ce tour de magie pourri
Souris
Mais ne dit pas :
« Restons de bons amis »
Ne me fais pas ce tour de magie pourri
Celui que tu as fait à tant d'autres
Je mérite mieux
Il faudrait juste faire un peu le tri
Je pensais que c'était le votre
Je peux difficilement faire mieux
Jésus Christ (crie !)
Les apôtres aussi
Dieux et tous les cieux
Je veux raconter une histoire, tout droit sortie de ma mémoire, je n'arrive plus vraiment à y croire, mais je ne perds pas espoir [ le soir tard à la gare St Lazarre : ) ]
J'aurais voulu écrire un truc pour toi
Mais j'ai pas grand chose à te raconter
Tu n'aurais pas été si mal avec moi
Tu ne sais pas ce que tu as raté
Je ne suis pas un saint
Peut être un pantin
Mais tu sais je suis un type bien
Tu t'en rendra compte demain
Un peu trop croc de toi, mais j'y peu rien
Putain de Saint Valentin
« Allez viens »
En fait, tu ne me connais pas
Tu ne t'imagines pas avec un mec comme moi
Pourtant je peux être syma
Et des fois, je sais même suciter la joi.
Quand je suis dans la rue, pour faire mes courses. Je me dis que peut être je vais te croiser. Alors je prends une douche, m'habille et m'aprête, sinon je sortirais en pyjama. Mais je ne te croise pas.
CA FAIT DU BIEN DE REECRIRE MEME SI LE RESULTAT RESTE DECEVANT MAIS PAS PIRE
votre commentaire -
Par supersly le 6 Mars 2012 à 00:12
Je fais ça depuis un an. Je ne le faisais pas avant. Je ne veux pas garder ça pour moi. J'ai envie que quelqu'un puisse le lire. Je me demande parfois si je suis normal.
votre commentaire -
Par supersly le 14 Décembre 2011 à 20:54
J'aurais voulu être rugbyman.
Mais je suis un freluquet, une ablette. Je ne suis pas un athlète. C'est bête, j'ai la tête, mais pas les...
Faut être honète, je vais pas vous la faire ego-trip. Je flippe, même si je ne le dis pas. Je suis comme ça, j'en ai pas une grosse et j'aurais peut être jamais de gosses. Les paroles sont fausses, pas de place pour le doute. Là j'en ai plus rien à foutre. Là j'ai plus rien à perdre. Et surement rien à gagner... 3 points. Panier ! Je ne vais pas le nier je ne voulais penser qu'à la victoire. Je voulais y croire.
Ne pas réfléchir. Voir celles des autres dans les vestiaires, comme dans un bestaire. Etre fier de mon membre. Comme avec elle dans la chambre. Penser à mes performances. Comme une romance. Aux matchs, crier : « Vive la France ! ».
[…] à suivre.
votre commentaire -
Par supersly le 13 Décembre 2011 à 22:08
Ce mois de décembre est l'occasion pour moi de faire le point, sur cette année écoulée.
J'en ai pas vraiment profité.
J'ouvre une bière.
Accoudé sur le comptoir de ma « cuisine américaine », je roule un joint dans mon studio étudiant. Pourtant je ne suis plus étudiant depuis longtemps.
Je ne veux pas déprimer simplement penser.
J'écoute un album de Buck 65 puis un Blind Melon (ceux qui ne voient pas le lien, désolé...)
Je ne veux pas penser à mon banquier.
Janvier :
Il a tout abandonné.
Février :
On s'est séparés.
Mars :
En fait, elle m'a quitté.
Avril :
Mon parrain est tombé dans le coma.
Mai :
Elle m'a déjà remplacé.
Juin :
C'est comme ça.
Juillet :
L'année a bien commencé.
Août :
Tirer une carte CHANCE.
Comme un besoin de vacance.
Septembre :
Le reste a défilé.
Les mois se sont écoulés avec rapidité. Beaucoup de travail aide à oublier. Un peu comme picoler.
Septembre :
je me suis fait tatoué Rien sur le bras.
Octobre :
J'ai déjà hâte de cet été.
Je suis épuisé. Je me suis enrhumé. Je ne cesse pas de tousser. Je voudrais m'arrêter. Mais mes anticorps sont plus forts que les microbes, les virus et les autres. Je resterais encore un peu des vôtres. Même si je ne serais pas le dernier couché. Novembre ne m'as pas réveillé. Je voudrais trouver quelqu'un. Ou quelqu'une. Qui ne dira pas :
« Je ne peux pas, je ne te vois pas comme ça. »
Décembre :
Il est tant de recommencer.
De bonnes résolutions pour janvier. Essayer d'avancer.
votre commentaire -
Par supersly le 12 Décembre 2011 à 21:34
Hier, elle a essayer de se tuer.
Elle a avaler tous les cachets, qu'elle a pu trouver.
Elle a dormi toute la journée.
Puis elle s'est réveillée.
Moi j'ai flippé.
J'ai contacté le centre anti-poison et je suis resté à ses cotés
A vérifié qu'elle était bien en train de rêver.
Puis elle s'est réveillée.
Elle m'a demandé les yeux à moitié fermé,
S'il restait un joint à fumer
Il n'en restait pas, alors on s'est engueulé
Je vais devoir retourner à la cité
Et acheter un bout de bédo à un paumé
Qui va encore tenté de me dépouiller (ou presque)
Passer 3 heures dans le bus ou marcher
Tant qu'à y aller
Je vais en prendre pour 100, pas la moitié
Il pleut un peu, il vente, par la lumière des lampadaires éclairé
Rejoindre le quartier.
J'ai les doigts glacés, les pieds mouillés,
Mais c'est pas grave elle s'est réveillée.
Je suis en train de rentrer.
Je l'appellerai bien pour lui demander,
si tout va bien et lui raconter,
Que tout va bien que tout s'est bien passé,
Mais surtout histoire de me rassurer.
MERDE ! Plus de batterie, mon portable est déchargé
Je ne peux même pas lui téléphoner.
Arrivé devant la porte après 3 heures à galérer.
Je vais me répéter.
Sonner.
Attendre, pas de réponse, je ne vais pas m'inquiéter.
Elle n'a pas pu recommencer.
Je resonne, mais rien n'y fait.
Je vais peut être commencer à m'inquiéter.
Je regarde mon portable éteind, sans y penser.
Je commence à douter.
Je sonne chez les voisin, mais ces enfoirés,
Refuse de me laisser rentrer.
Ils font les morts même si je sais,
Qu'ils sont tranquillement chez eux, à regarder la télé,
Ils ont peur que je vienne les cambrioler.
Je vais vers une cabine téléphonique, je reste concentré.
Il en reste plus beaucoup et je ne sais pas qui appeler.
Je ne sais vraiment pas qui peut me conseiller.
Je ne dois pas paniquer.
En plus avec ma CB, ça ne va pas marcher.
Je ne peux appeler que les pompiers.
« Allo, le 18, voilà ma copine a essayer de se suicidée,
Je suis sorti quelques heures sans les clés,
elle refuse de répondre, je commence à m'inquiéter.
- Vous vous êtes disputer ?
- Non mais s'il vous plait vous pourriez m'aider ?
- Qu'est ce que vous voulez qu'on fasse ?
- Je sais pas c'est votre métier. »
J'attends un peu devant la porte fermée.
J'entends la sirène s'approcher.
J'aime pas me faire remarquer,
Là c'est raté.
« Vous nous avez appeler ? »
De peu suivent les policiers.
Sans oublié que dans les poches, cachés, j'ai 30 G.
J'ai autre chose à penser
Et ce soir ils ne me feront pas chier.
Les voisins les laissent entrer.
Nous montons les escaliers,
Je suis bien entouré.
Mais pas très rassuré.
Les pompiers frappe à la porte et malgé la force de leur frappe, aucune réponse n'est donnée.
J'aurais aimé l'entendre prononcer : « Entrez ! »
Ils retourne vers moi, avec dans leur regards, une question : « Qu'est ce qu'on fait ? »
Je suis déconnecté.
« On rentre »
La femme flic me demande de rester en retrait.
Surement pour me préserver.
Je ne sais pas ce qu'ils vont trouver.
Les pompiers, avec gaité,
un peu d'action dans leur journée,
ont litérralement enfoncé,
la porte, le cadre et le mur à moitié.
Ils rentrent et font le tour de la propriétée.
« Il n'ya personne M. Huguet »
Je suis soulagé
Et pas plus connecté.
J'ai signé quelques papiers.
Je me suis assis.
Ils sont partis.
J'ai regardé autour de moi, j'ai vu le téléphone posé.
Cela n'aurait rien changé.
Elle est entrée.
Elle a souri,
il était presque minuit.
A moitié shootée,
Elle a dit : « Qu'est ce qui s'est passé ? »
J'ai souris.
Ca aurait pu mal terminé.
Demain, j'aurai tout oublié.
C'est pas grave, elle est réveillée.
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique