• On s'est rencontré, dans un café, sur l'île de la Cité. J'étais excité. Je ne te connaissais qu'à peine. Quelques mots échangés. Tu me paraissais déjà être comme une reine. Alors on est allé sur les bords de la Seine. Je sentais déjà mon coeur battre et le sang bouillir dans mes veines. Je sentais s'installer une gène. Je voulais poser mes lèvres sur les tiennes.
    Le moment était parfait. Le soleil illuminait et réchauffait le ciel de Paris. Et pour une fois, je ne voyais pas la vie en gris.
    Un trompétiste jouait "Somewhere over the rainbow". C'était vraiment trop beau. Peut être même un peu trop.

    Tu es mariée. 2 enfants.
    Je t'ai embrassé. Je suis devenu ton amant.

    Le lendemain on s'est retrouvés. J'ai pris ta main et puis on a marché. On est allés chez moi. Malgré le manque de confiance en soi, aujourd'hui j'y crois.
    On a baisé. On l'a fait comme jamais je ne l'avais fait. D'abords sur le canapé. Puis dans la chambre à coucher. Puis de nouveau sur le canapé. Et encore et encore... J'ai adoré ce corps. Je ne suis pas encore mort. J'ai peut être eu tort de le penser... ou son contraire. J'aurai tout fait pour te plaire. Si c'était à refaire... Je préfère me taire et repenser à cet après-midi. Ce moment indéfini passé avec toi sur ce lit. Entendre tes cris. Te regarder quand tu gémis. Sans cesse sous mes caresses. J'ai adoré tes fesses. J'ai adoré tes seins. Comme tu as adoré mes mains. Enfin j'espère... Encore une fois, je préfère me taire, ou boire une autre bière et faire le fier. J'ai retrouvé un plaisir adolescent, comme deux insouciants ou comme deux enfants. Comme deux amants ou comme deux ougandais volants.

    Tu es mariée. 2 enfants.
    Je t'ai embrassé. Je suis devenu ton amant.

    Tu es devenue mon amante. Comme un parenthèse. Dans l'attente d'être fermée. Comme le chiffre 13. " Est ce que ça te tente, un week end au bord de la mediterranée ?". Une  phrase mal placée. Je voulais simplement t'enlasser. Ne jamais te lasser. Ne jamais te laisser. Continuer de te carresser. NE PAS S'ARETER, CONTINUER D'AVANCER.
    Tu es rentrée chez toi. Je t'ai raccompagné jusqu'au RER. Comme tu me paraissais déjà être comme une reine, je voulais me sentir roi. Mais j'aurais encore mieux fait de me taire et te considérer comme une hyenne.
    On s'est dit que c'était vraiment bien. Qu'il fallait se revoir. Mais mieux vaut, ne pas créer de lien. J'y repenserais surement ce soir.

    Tu es mariée. 2 enfants.
    Je t'ai embrassé. Je suis devenu ton amant.


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  • Je voulais te parler
    Te dire que j'ai passé une bonne soirée
    Merci, pour ce signe de faiblesse
    Besoin de recevoir un peu de tendresse
    Besoin d'en donner
    De serrer quelqu'un dans mes bras
    Et c'était toi
    Je ne grandis pas
    Je ne regrette rien
    C'était bien


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  • Tu as dit je t'apprécie
    Merci
    Nous n'étions pas ami...
    Avant
    Donc ne te fais pas de soucis
    Pour ce coup ci
    Ne me fais pas ce tour de magie pourri
    Souris
    Mais ne dit pas :
    « Restons de bons amis »



    Ne me fais pas ce tour de magie pourri
    Celui que tu as fait à tant d'autres
    Je mérite mieux
    Il faudrait juste faire un peu le tri
    Je pensais que c'était le votre
    Je peux difficilement faire mieux
    Jésus Christ (crie !)
    Les apôtres aussi
    Dieux et tous les cieux



    Je veux raconter une histoire, tout droit sortie de ma mémoire, je n'arrive plus vraiment à y croire, mais je ne perds pas espoir  [ le soir tard à la gare St Lazarre : ) ]



    J'aurais voulu écrire un truc pour toi
    Mais j'ai pas grand chose à te raconter
    Tu n'aurais pas été si mal avec moi
    Tu ne sais pas ce que tu as raté
    Je ne suis pas un saint
    Peut être un pantin
    Mais tu sais je suis un type bien
    Tu t'en rendra compte demain
    Un peu trop croc de toi, mais j'y peu rien
    Putain de Saint Valentin
    « Allez viens »
    En fait, tu ne me connais pas
    Tu ne t'imagines pas avec un mec comme moi
    Pourtant je peux être syma
    Et des fois, je sais même suciter la joi.



    Quand je suis dans la rue, pour faire mes courses. Je me dis que peut être je vais te croiser. Alors je prends une douche, m'habille et m'aprête, sinon je sortirais en pyjama. Mais je ne te croise pas.

    CA FAIT DU BIEN DE REECRIRE MEME SI LE RESULTAT RESTE DECEVANT MAIS PAS PIRE


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  • Je fais ça depuis un an. Je ne le faisais pas avant. Je ne veux pas garder ça pour moi. J'ai envie que quelqu'un puisse le lire. Je me demande parfois si je suis normal.


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  • J'aurais voulu être rugbyman.

    Mais je suis un freluquet, une ablette. Je ne suis pas un athlète. C'est bête, j'ai la tête, mais pas les...

    Faut être honète, je vais pas vous la faire ego-trip. Je flippe, même si je ne le dis pas. Je suis comme ça, j'en ai pas une grosse et j'aurais peut être jamais de gosses. Les paroles sont fausses, pas de place pour le doute. Là j'en ai plus rien à foutre. Là j'ai plus rien à perdre. Et surement rien à gagner... 3 points. Panier ! Je ne vais pas le nier je ne voulais penser qu'à la victoire. Je voulais y croire.

    Ne pas réfléchir. Voir celles des autres dans les vestiaires, comme dans un bestaire. Etre fier de mon membre. Comme avec elle dans la chambre. Penser à mes performances. Comme une romance. Aux matchs, crier : « Vive la France ! ».

     

    […] à suivre.


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